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lundi 28 décembre 2009

Journée sans

Malgré de chaleureux témoignages d'amitié, il est de ces jours (en hôpital psychiatrique) où l'inspiration est faible voire inexistante. Il faut également avouer que la fin décembre encourage ce sentiment de vide, un peu comme quand Coyote est allé un petit peu trop vite avec ses rétro-propulseurs Acme, qu'il palpe sous ses pieds pour en déduire que, non seulement, la falaise est 5 mètres derrière lui mais qu'en plus, il va salement se vautrer la gueule sur le sol du désert d'Arizona, un état dans lequel Harry zona (une citation de MC Solaar ne passe jamais inaperçue).

Ainsi, malgré la popularité naissante de cet interface dédié à la mauvaise foi en milieu footballistique, il serait totalement scandaleux de vous proposer, chers amis lecteurs, un papier sans but tel un Cavenaghi de bas étage et sans intérêt comme un centre du droit de Taiwo.

Certes, la Premier League était de sortie en ce dernier lundi de la décennie 2000. Certes, Drogbiche a encore sauvé Chelski de la déroute, Rooney a sublimement expliqué le ballon à la défense de Hull City et Cesc Fabregas a réalisé un splendide triptyque cirage de banc pendant 1 plombe/2 pions coup sur coup/ sortie sur blessure. Seulement, voilà. Cherchez pas, vous n'aurez pas d'autre explication.

Vous l'aurez sans doute compris, pour attirer l'oeil de l'amateur érudit que vous êtes jusqu'ici, il fallait vraiment beaucoup de talent et d'application. Apparemment, c'est réussi.
Pour vous remercier d'avoir cru que vous liriez quelque chose d'intéressant, je vous fait cadeau d'une blagounette mêlant subtilement football et religion. Tenez-vous prêts, ça va être furtif. Frogs de bénitier passez votre chemin de Damas.

Pourquoi Jésus n'a-t-il pas joué la finale de la Coupe à Bethléem? Il était suspendu.

Nous faisons les baptêmes, les mariages, les enterrements de morts et de jeunes filles ainsi que les bar-mitzvah.

Shabbat Shalom,

Cesc Romero .

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