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lundi 16 mai 2011

Libertadores: résumé des 1/4 de finale aller

Les 1/4 de finale aller se sont tenus mercredi et jeudi dernier. Récapitulatif avant l'élection du dernier carré cette semaine.


Penarol-Universidad Catolica: 2-0

Dans son stade du Centenario du Montevideo, Penarol a pris une avance confortable face aux Chiliens en l'emportant 2-0. Les Carboneros, vainqueur de l'Uruguayo en mai dernier mais seulement 6ème du dernier tournoi d'ouverture, peuvent remercier Paulo Garcés. Le gardien de l'UC a offert la victoire sur un plateau avec deux superbes cagades aux 38ème et 89ème minutes. Après avoir sorti l'Internacional Porto Alegre, tenant du titre et toujours pas remis de sa défaite face au TP Mazembe au Mondial des Clubs, le club charrua est en passe de rallier les 1/2 finale.


Once Caldas-Santos: 0-1

Dernier concurrent brésilien, Santos a fait un grand pas vers la qualif' en l'emportant sur la pelouse des Colombiens d'Once Caldas. La différence s'est faite juste avant la pause grâce à un but d'Alan Patrick, lancé par un amour d'exter' du droit de Neymar. Tombeur surprise du favori Cruizeiro, Once Caldas demeure néanmoins à portée de tir et est capable de renverser la tendance au retour.


Vélez Sarsfield-Libertad: 3-0

La qualification semble quasiment acquise pour Vélez, large vainqueur des Paraguayens de Libertad. Le dernier représentant argentin n'a toujours pas encaissé le moindre but depuis le début de la phase éliminatoire et actuel leader du championnat de clôture, Vélez a tout du futur vainqueur de la compétition.

Jaguares-Cerro Porteno: 1-1
Les Jaguares mexicains sont revenus à hauteur des Paraguayens dans les ultimes instants de la partie et n'a pas hypothéqué ses chances de qualification en demi-finale. Le 2ème club guarani regrettera sans doute de s'être fait rejoindre alors qu'il avait ouvert le score à 20 minutes de la fin. Malgré ce score de parité, les coéquipiers d'Iturbe, annoncé comme la future pépite argentine et sur le chemin de Porto, auront tout de même l'avantage du terrain vendredi.

Cesc Romero

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